samedi 24 septembre 2011

Manger moins de viande est plus écologique que de manger local

VRAI et FAUX


C’est un vrai dilemme qui se pose pour celui qui veut minimiser l’empreinte écologique de son alimentation.

Qu’est-ce qui a le plus d'impact : manger plus d’aliments locaux ou bien diminuer sa consommation de viande ?


Une étude y répond avec des données objectives avec une question : Quel est l’impact du transport de nourriture au niveau environnemental ?

jeudi 15 septembre 2011

Les produits bio contiennent plus de toxines

FAUX
Toutes les plantes sont la cible de champignons microscopiques : les mycotoxines. Mais ces mycotoxines ne se retrouvent pas davantage dans les cultures bio.
Après l'épidémie provoquée par E.coli, la filière bio a eu une mauvaise publicité. Aujourd'hui, il existe un doute dans l'esprit des consommateurs. La confiance envers les produits bio aurait baissé de plus de 20%.
Hors, ces graines ont été germées en laboratoire dans un milieu artificiel. Le problème vient véritablement des graines germées, principaux aliments à risque avec le bifteck. Placées à germer durant plusieurs jours dans une atmosphère chaude et humide, idéale au développement des bactéries.

mercredi 14 septembre 2011

La conserve, la solution idéale consom'acteur !

VRAI et FAUX
Dans notre société où tous doit toujours aller plus vite, à l'heure du repas, le dilemme est de choisir entre le surgelé ou la conserve.
Selon différentes recherches sur le sujet, outre l'avantage en terme de recyclage : étant un mono-matériaux facilement extrait du flux des déchets et recyclable à l'infini, le bilan carbone de la conserve est bien meilleurs que celui du surgelé (30% inférieur).
Mais le plus gros problème de la conserve se retrouve à l'intérieur. En effet, le revêtement en résine qui sépare l'aliment du métal, contient du bisphénol A(voir notre article complet sur le bisphénol A et les plastiques). Un composé de synthèse qui est un leurre hormonal, capable de « mimer » l’effet des hormones sexuelles féminines qui ont un rôle dans la fonction de reproduction, mais aussi le développement d’organes comme le cerveau ou le système cardio-vasculaire, soupçonné de créer divers problèmes de santé : cancer, diabète, baisse de fertilité, troubles comportementaux... 

Sachez également que malgré le 100% recyclable de nos conserves, seulement 60% sont recyclées aujourd'hui.


Sources : voir l'article de Louise Allavoine dans Terra Eco n°28 de septembre 2011
voir également un petit article sympa sur la fabrication d'une conserve : ici

samedi 28 mai 2011

Les énergies nouvelles sont nouvelles

FAUX
Les énergies nouvelles, ou énergies renouvelables, ne constituent pas une idée neuve, bien qu’elles fassent l’objet d’un engouement croissant.

vendredi 15 avril 2011

Marijuana : elle peut sauver la planète !

VRAI et FAUX

On l’appelle MarijuanaCannabis, Chanvre...  Cette plante peut nous apporter de nombreuses choses : papier, textiles, isolation, corde, peinture, vernis, huile d'allumage, huile pour la nourriture, construction ...


Mais Fumer un joint est mauvais pour l'environnement


Selon le Fast Compagny magazine, la marijuana est mauvaise pour l’environnement. La culture de marijuana serait responsable d’1% de la consommation d’électricité annuelle aux Etats-Unis. Cela représente 5 milliards de dollars en énergie (3,5 milliards d'euros) par an ce qui équivaut à la consommation d'énergie d’une moyenne de 2 millions de foyers américains par an.

mardi 29 mars 2011

Il n'existe pas de solutions viables pour remplacer le nucléaire

FAUX
Le nucléaire est la solution pour laquelle la France à opter pour sa production d'électricité à près de 80%.
La plaçant comme second producteur d'énergie nucléaire au monde après les États-Unis. Le reste de la production d’électricité est assurée d'une part par les sources d’énergie renouvelables (production hydroélectrique, et marginalement énergie solaire et éolienne) et d'autre part par des centrales thermiques.
Le nucléaire est devenue une "normalité" dans la production d'énergie, ses dangers et son coût réel passent le plus souvent sous silence.....

mercredi 9 mars 2011

Acheter du neuf, pour réduire sa consommation d'énergie et polluer moins

FAUX
Aujourd'hui, il faut sans cesse renouveler son matériel pour réduire sa consommation d'énergie.
Nouvel auto, nouveau frigo, nouvel ordinateur...Pour consommer moins d'énergie et ainsi polluer moins ?

Prenons l'exemple d'un ordinateur de bureau, fabriqué en Chine (pour la très grande majorité) où l’électricité est produite à partir du charbon. La plupart des sources (Ademe et AIE) conviennent que 1 kWh électrique produit à partir du charbon émet environ 0,980 kg de CO2. Comme il faut 900 kWh d’énergie pour produire un ordinateur (source : EcoInfo / étude EuP - ISSN 1404-191X), les émissions de CO2 résultantes sont d’environ 890 kg de CO2 auxquelles il faut ajouter environ 50 kg pour le transport. Au final, la fabrication de votre nouvel ordinateur a émis près d’une tonne (940 kg) de CO2 !

Passons à l’utilisation, selon l’Ademe, le kWh électrique émet en moyenne en France 90 grammes de CO2. Comme un ordinateur consomment environ 450 kWh d’électricité par an, son utilisation émet 40 kg de CO2 chaque année.

En France, il faut donc utiliser un ordinateur fabriqué en Chine plus de 24 ans pour émettre autant de CO2 que lors de sa fabrication.

vendredi 4 mars 2011

Sables bitumineux : Une ressource stratégique pour le monde entier

FAUX

Les sables bitumineux : c’est quoi ? 
Il s’agit de bitume très visqueux aggloméré à du schiste et du sable, à partir duquel on produit du pétrole. Ces sables bitumineux sont exploités dans des mines à ciel ouvert ou dans des gisements souterrains. Dans le premier cas ils sont extraits à l’aide de pelles mécaniques et de camions géants. Pour l’extraction «in situ», il faut forer, chauffer le bitume en injectant de la vapeur et des solvants en profondeur, puis mélanger le sable extrait avec de l’eau chaude pour le rendre moins visqueux. Enfin, il faut le faire décanter pour en extraire le pétrole. C'est donc un processus complexe, coûteux et extrêmement polluant. Actuellement, les plus vastes réserves de sables bitumineux exploitables se trouvent en Alberta - Canada, au Venezuela (huiles extra-lourdes) et à Madagascar.

Aberration énergétique, climatique et environnementale, les sables bitumineux, avec les schistes bitumineux, sont les pétroles les plus chers, les plus sales, les plus polluants qui soient

mercredi 2 mars 2011

Notre société est à même de mesure son impact sur l'environnement

FAUX
Depuis plusieurs mois, de nombreux articles fusent sur internet : Les animaux meurent en masse !
Aucune explication n'est donnée sur ce brusque phénomène : tremblement de terre, froid, empoisonnement, peur... Le seul point commun : l'activité humaine !


L'histoire commence part une pluie d'oiseaux morts qui s'abat sur l'Arkansas aux USA le 31 Décembre 2010. Près de 3000 volatiles sont tombés dans les rues d'une petite ville du sud des Etats-Unis, le soir de la St-Sylvestre. Ils seraient morts de peur. 3000 oiseaux morts se sont abattus dans les rues de Beebe, dans l'Arkansas. Sur deux kilomètres de cette localité de 5.000 habitants, les rues étaient jonchées de cadavres ou de volatiles agonisants. Il s'agit de carouges à épaulettes et d'étourneaux. Les autorités sont pour le moment incapables d'expliquer cette hécatombe et espèrent que la l'autopsie des bêtes apportera une réponse. Les scientifiques privilégient la piste des feux d'artifice du Nouvel an (les faits ont eu lieu vers 20h). Les explosions ont pu effrayer et paniquer les bêtes jusqu'à causer leur mort. Keith Stephens, un porte-parole de la commission, a déclaré que les oiseaux montraient des signes de traumatisme physique aiguë ayant conduit à une hémorragie interne et à la mort. Tous les principaux organes étaient normaux.voir les sources

dimanche 27 février 2011

Bio = écolo

FAUX
Eh bien non, un produit bio n’est pas forcément écologique. Il est vrai qu’on associe souvent les produits bio à des produits écologiquement vertueux mais ce n’est pas toujours le cas. En effet, la qualité et l’empreinte écologiques d’un produit dépendent de plusieurs facteurs, de la conception du produit jusqu’à la fin de son cycle de vie.

Le bio n’est pas un passeport vert
Ce qu’apporte le bio, c’est avant tout une garantie d’avoir un produit sans toxines, c’est à dire qui ne contient ni nitrates, ni pesticides, ni insecticides, sans produits pétrochimiques ou phytosanitaires, etc.
Les aliments bio ont donc moins d'impact sur l'environnement du fait de la moindre utilisation des produits toxiques.