L’appauvrissement de la couche d’ozone serait lié aux composés organo-halogènes (chlorofluorocarbones ou CFC, halons). Ceux-ci étaient utilisés dans de nombreuses activités industrielles, non seulement comme propulseurs d’aérosols, mais aussi dans la production de mousses, de liquides réfrigérants, de climatiseurs ou de solvants.
Le protocole de Montréal (1987) a imposé l’arrêt progressif de l’utilisation de ces composés. Mais leur durée de vie très longue (50 à 100 ans) fait que les émissions de ces polluants dans les années 1960-1990 continueront de produire leurs effets délétères sur l’atmosphère très longtemps.
Malgré la baisse de leur concentration dans l’atmosphère amorcée depuis 1996, les spécialistes ne prévoient pas un rétablissement de la couche d’ozone à son niveau antérieur avant 2050¹.
¹ : Programme des Nations Unies pour l’environnement (UNEP)
Le protocole de Montréal (1987) a imposé l’arrêt progressif de l’utilisation de ces composés. Mais leur durée de vie très longue (50 à 100 ans) fait que les émissions de ces polluants dans les années 1960-1990 continueront de produire leurs effets délétères sur l’atmosphère très longtemps.
Malgré la baisse de leur concentration dans l’atmosphère amorcée depuis 1996, les spécialistes ne prévoient pas un rétablissement de la couche d’ozone à son niveau antérieur avant 2050¹.
¹ : Programme des Nations Unies pour l’environnement (UNEP)
extrait du site http://www.la-parisienne.net/
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