Les moteurs diesel sont aujourd’hui les principaux responsables du rejet des particules fines. Or, avec l’ozone, ces particules sont considérées comme les polluants dont l’impact sur la santé est le plus important. Selon l’Afsse¹, elles augmentent la mortalité cardio-respiratoire, exacerbent les crises d’asthme, altèrent l’efficacité des échanges gazeux dans les poumons. A plus long terme, elles favorisent la survenue de cancers du poumon.
Grâce aux normes européennes rendant les filtres à particules obligatoires à partir de 2006, une réduction significative de ce type de pollution devrait être progressivement observée. Par rapport à leurs homologues à essence, les véhicules diesel émettent aussi des concentrations plus importantes d’oxyde d’azote, qui peuvent favoriser les maladies respiratoires chroniques (asthme). En revanche, ils émettent moins d’oxyde de carbonne. Une mince consolation !
¹ : Note sur l’impact sanitaire des particules diesel de l’Agence française de sécurité sanitaire environnementale (Afsse).
Ozone et ozone : le bon et le mauvaisIl faut différencier l’ozone présent dans les couches basses de l’atmosphère (troposphère) qui se forme suite à l’interaction des rayons solaires avec les polluants liés à l’industrie et à la circulation, nocif pour les bronches et les yeux, de l’ozone des couches élevées de l’atmosphère (stratosphérique) qui nous protègent des rayonnements nocifs du soleil.
Grâce aux normes européennes rendant les filtres à particules obligatoires à partir de 2006, une réduction significative de ce type de pollution devrait être progressivement observée. Par rapport à leurs homologues à essence, les véhicules diesel émettent aussi des concentrations plus importantes d’oxyde d’azote, qui peuvent favoriser les maladies respiratoires chroniques (asthme). En revanche, ils émettent moins d’oxyde de carbonne. Une mince consolation !
¹ : Note sur l’impact sanitaire des particules diesel de l’Agence française de sécurité sanitaire environnementale (Afsse).
Ozone et ozone : le bon et le mauvaisIl faut différencier l’ozone présent dans les couches basses de l’atmosphère (troposphère) qui se forme suite à l’interaction des rayons solaires avec les polluants liés à l’industrie et à la circulation, nocif pour les bronches et les yeux, de l’ozone des couches élevées de l’atmosphère (stratosphérique) qui nous protègent des rayonnements nocifs du soleil.
extrait du site http://www.la-parisienne.net/
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